Le Réseau Impact Recherche Canada accueille trois nouvelles universités

L’Université de Winnipeg, l’Université de l’Alberta et l’Université Dalhousie rejoignent le Réseau Impact Recherche Canada, duquel l’Université de Montréal est membre. Ce récit a été publié la première fois dans UdeMNouvelles. Il est repris ici avec permission.

RIC-RIRC logoDix-sept établissements forment désormais le réseau pancanadien d’universités qui s’est engagé à maximiser les répercussions positives de la recherche universitaire tant au Canada qu’à l’échelle mondiale. Au total, ce sont plus de 50 professionnels qui travaillent à faire connaître les services, les outils et les pratiques exemplaires en matière de mobilisation des connaissances pour favoriser les retombées de la recherche, du savoir et des activités créatives.

L’Université de Montréal s’est jointe au Réseau Impact Recherche Canada en 2013, affirmant ainsi sa volonté de mieux soutenir et valoriser la mobilisation des connaissances de ses chercheurs dans tous les secteurs. Un dispositif institutionnel, comprenant un concours annuel de subventions et l’embauche d’un conseiller en mobilisation, a été mis en place pour ce faire.

Le Réseau s’est formé en 2006 et regroupe des universités qui ont fait le choix de mettre sur pied une unité de soutien institutionnel pour la mobilisation des connaissances produites par les travaux de recherche et par les organisations partenaires. Les membres actuels du Réseau sont:

  • l’Université Memorial de Terre-Neuve,
  • l’Université du Nouveau-Brunswick,
  • l’Université du Québec à Montréal,
  • l’Université de Montréal,
  • l’Université Carleton,
  • l’Université York,
  • l’Université McMaster,
  • l’Université Wilfrid-Laurier,
  • l’Université Western,
  • l’Université de la Saskatchewan,
  • l’Université polytechnique Kwantlen,
  • l’Université de la Colombie-Britannique,
  • l’Université de Victoria,
  • l’Université de Brighton, au Royaume-Uni.

Pour plus d’information sur le Réseau Impact Recherche Canada, visitez son site, communiquez avec Aubert Landry ou suivez le compte Twitter @researchimpact.